
La data occupe une place primordiale aujourd'hui au sein des villes, au point de devenir l'essence même de la "smart city". Efficacité, optimisation et centralisation sont les maîtres mots de son utilité. Il ne faut cependant pas mettre de côté ses enjeux de justice, d'éthique et de bien commun.
Qu'en est-il de l'appropriation de ces données par l'acteur privé ?
Au travers de nombreux exemples (le programme "Smarter city" d'IBM, les "Sidewalk Labs" de Google, Waze, Apple, Tesla...), Bertil de Fos - directeur du cabinet d'études Chronos et d'Auxilia- et Bruno Marzloff - fondateur du cabinet d'études Chronos, nous mettent en exergue les différentes utilisations de la data dans une tribune publiée sur Le Monde le 8 juin dernier. L'occasion de se questionner sur le rôle du citoyen et l'enjeu politique d'une nouvelle gouvernance de la cité.
Pour lire la Tribune : Smart cities : attention à "l'appropriation des "data" personnelles par le privé".